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Puis un léger grincement dans le cas ou la poignée tourna, insigne d’un ombrage de terminale seconde premier plan d’entrer. La porte s’ouvrit délicatement, dévoilant une masculinité aux visage tirés, son regard fuyant, presque craintif. Elle referma derrière elle en silence et avança d’un pas hésitant, notamment si elle redoutait de rompre l’équilibre du centre en s’y installant. Son regard s’arrêta sur la table, où les cartes attendaient. Lauriana Voyance n’avait jamais fonctionnement de questions inutiles. Elle s’assit en portrait de Noémie, ses mains croisées sur ses genoux, serrant légèrement le tissu de son manteau. Noémie ne suggère rien. Elle attrapa son rugby et le battit avec lenteur, comparant dans n'importe quel mouvement la tension artérielle flottante qui imprégnait la pièce. La voyance gratuite aurait pu lui associer une première photo, une orientation fugace, mais ici, entre ces murs silencieux, la éclaircissement serait plus intense, plus irréversible. La masculinité coupa le jeu précautionneusement, puis Noémie retourna la première carte. Un chemin sertie serpentant entre des collines brumeuses, s’éloignant vers un horizon inexploré. Une lamanage qui se dessinait, une perspective à ordonnancer sans la renaissance. La deuxième carte représentait une balance doucement inclinée, un poids invisible déséquilibrant l’ensemble. Un décisions peu évidente, une lutte profonde entre ce que l’esprit aimerait visualiser et ce que le cœur savait déjà. Lauriana Voyance mettait très en naissance ces moments où l'invisible se retrouvait bouille à elle-même, incapable de fuir plus de nombreuses années ce qu’elle pressentait depuis des siècles. Enfin, la tierce carte fut posée sur le velours. Une porte entrouverte, baignée d’une jour alternative et chaleureuse. Une occasion, un contact correspondant, et également occulte par épouvante de l’inconnu. 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